…n’est pas satisfaisante.
Nous examinerons le projet de loi pénitentiaire à l’automne. J’espère que toutes les mesures qui seront proposées permettront enfin de résoudre ce problème, lequel est, pour notre République, une humiliation – n’est-ce pas, monsieur le président Badinter ? –, et que nous disposerons de tous les moyens permettant de faire progresser les choses en ce domaine.
En tout état de cause, les grâces collectives seraient plutôt du ressort du Parlement, à travers l’amnistie.