Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, je me réjouis de l'aboutissement de cet examen long et minutieux du collectif 2005.
Je voudrais remercier chacun d'entre vous, mes chers collègues, vous qui avez été constamment présents. Nous avons pu discuter, dans des conditions parfois un peu difficiles, mais sans que jamais la courtoisie et la bonne humeur en pâtissent.
Je demande beaucoup bienveillance à nos collègues, en particulier ceux de l'opposition, qui se sont vu opposer l'article 40.