Je ne reviendrai pas sur les arguments qui ont été excellemment défendus par mes collègues.
Outre les considérations financières évoquées, le maintien de la répartition actuelle me paraît justifié par le fait que la plupart des installations hydroélectriques visées sont implantées dans des communes de montagne dont les habitants subissent des nuisances visuelles et éprouvent la crainte de voir se déverser des millions de mètres cubes d’eau, à la suite par exemple d’un tremblement de terre. Les populations veulent bien accepter ces risques, à condition qu’elles puissent mettre un peu de beurre dans leurs épinards. Les communes de montagne en ont bien besoin !