s'est interrogé sur les risques d'inflation résultant de l'ampleur des émissions d'emprunt réalisées à l'échelle mondiale en raison de la mise en oeuvre des différents plans de relance nationaux. Il a ainsi indiqué qu'au déficit budgétaire de plus de 86 milliards d'euros et au déficit de la sécurité sociale de 14 milliards d'euros, soit un total de l'ordre de 100 milliards d'euros, il convenait d'ajouter les emprunts consécutifs à la couverture d'une série d'autres besoins : le refinancement des titres de l'Etat arrivant à échéance, les émissions obligataires de la Société de financement de l'économie française (SFEF) et de la Société de prises de participation de l'Etat (SPPE), ainsi que celles nécessaires aux interventions du fonds stratégique.