Voter pour un sigle risque de décourager les salariés de participer au scrutin. Il serait préférable, en conséquence, qu'ils puissent voter pour une liste de candidats, tel est l'objet de l'amendement n° 2. Le choix de faire voter les salariés pour une étiquette syndicale est une concession accordée au Medef et à la CGPME qui se sont livrés, dans ce but, à un intense lobbying.