En réponse à M. Jean Arthuis, président, M. Dominique Lamiot a fait valoir que les estimations du service des domaines, en règle générale, correspondaient étroitement à la moyenne des offres reçues dans le cadre des cessions. Dans la mesure où France Domaine faisait appel à des évaluations externes, il a contesté l'idée que ce service puisse apparaître comme « juge et partie », en remplissant à la fois un rôle d'évaluateur des biens immobiliers de l'Etat et de négociateur pour la vente de ces biens. S'agissant du cas de l'immeuble de la rue de la Convention racheté à Carlyle, il a insisté sur l'impossibilité de faire aboutir la négociation à un prix d'achat inférieur à 325 millions d'euros.