Je proteste contre cette façon de faire. Vous voulez faire voter ces deux mesures emblématiques avant la grève du 12 octobre, c'est clair. Vous nous annoncez à 13 heures que l'on va attaquer l'examen de ces articles à 16 heures. C'est bien maltraiter, et les membres de la commission et le rythme parlementaire. Vous ne nous laissez pas le temps de respirer. La moindre des choses serait au moins de nous laisser un délai jusqu'à demain. Et là, ce n'est pas le Gouvernement que l'on peut accuser : laissez-nous au moins le temps de préparer nos interventions.