a exprimé ses réserves sur la réduction du temps dévolu à la discussion générale des crédits des missions figurant dans le projet de loi de finances, proposée par le président Jean Arthuis. Il a relevé, par ailleurs, la faible influence budgétaire du Parlement, qui n'avait pu finalement porter que sur 30 millions d'euros. Evoquant ensuite les récents propos du premier président de la Cour des comptes sur la difficulté de l'exercice de certification des comptes de l'Etat, il a estimé qu'une volonté politique forte était nécessaire pour faire évoluer réellement l'équilibre budgétaire.