a insisté sur la nécessité de mener un contrôle financier précis, indiquant que l'action culturelle à l'étranger, menée par les conseillers culturels, était largement auto-financée. Elle a relevé la très grande importance de la politique culturelle à l'étranger comme levier d'influence, suggérant une meilleure coordination avec le secteur de l'audiovisuel, par exemple en faisant produire par TV5 ou RFI des émissions qui mettraient en valeur les actions de l'AFAA.