Les auteurs de l'amendement estiment que le développement de l'apprentissage passe d'abord par la revalorisation des conditions salariales des apprentis. Certes, la rémunération initiale peut être modeste, mais nombre de conventions ou d'accords d'entreprise conduisent à des rétributions plus attractives. Tout cela est lié à la spécificité de ces mineurs encore en formation. Sauf à décourager les entreprises d'accueillir des salariés, il ne faut donc pas inscrire dans la loi de dispositions plus contraignantes. Avis défavorable.