a alors fait remarquer que si la vente des actions détenues par Lagardère avait eu lieu en 2006, et non en 2007, elle aurait permis aux finances publiques de « bénéficier » de l'imposition de la plus-value réalisée par le groupe Lagardère. M. Dominique de Villepin a estimé que ce n'était pas la responsabilité de Matignon de se préoccuper de cette question.
a ensuite demandé à M. Dominique de Villepin quelles améliorations, avec le recul, pourraient, selon lui, être apportées à la gouvernance de l'Etat.