Concernant le travail en coopération avec d'autres associations, M. Laurent Giovannoni a précisé que la CIMADE envisageait de développer des partenariats :
- avec des associations étrangères pour assurer un meilleur suivi des réadmissions dans l'espace Schengen ;
- avec les barreaux ;
- avec des syndicats pour faciliter la récupération des salaires acquis par les étrangers ayant travaillé avant leur placement en rétention.
S'agissant de l'avenir, il a déclaré ne pas disposer d'éléments d'information particuliers, mais qu'il n'était pas nécessaire d'avoir un nouvel appel d'offres pour que la CIMADE continue à exercer sa mission. Il a ajouté que la loi prévoyait cette aide à l'exercice effectif des droits dans les lieux de rétention.