Relevant que 1.850 salariés étaient concernés par la disparition programmée de la profession d'avoué, Mme Rachida Dati, garde des sceaux, ministre de la justice, a estimé que dans les cas où les avoués deviendraient avocats, les salariés devraient suivre leur employeur dans ses nouvelles fonctions. Elle a rappelé que ces salariés ne pourraient travailler au sein des greffes qu'en passant les concours d'entrée à l'Ecole nationale des greffes, le recours à des contractuels étant très limité pour les emplois de fonctionnaire de catégorie B.