a regretté le manque d'audace des actions entreprises par le ministère en matière de protection de l'environnement et de développement durable, évoquant à titre d'exemple l'abandon de l'entretien des rivières et ses conséquences induites en matière d'inondation ou encore la multiplication des transports transfrontaliers entre la France et l'Espagne liés aux activités forestières et de fabrication des meubles de série, et l'explosion, dans le secteur touristique, des vols aériens « low cost », les deux phénomènes aggravant les émissions de gaz à effet de serre.
En ce qui concerne la volonté exprimée par les pouvoirs publics de limiter les flux consommateurs d'énergie, il a mis en garde contre les impacts négatifs pour les économies des pays en voie de développement.