a observé que le Gouvernement avait dû faire des choix à un moment où il n'était pas facile de les faire. Elle a néanmoins relevé un certain défaut d'information des maires et des élus locaux, qui avaient été mieux informés sur la grippe aviaire et qui ont eu par conséquent quelques difficultés à répondre aux inquiétudes, notamment dans les écoles.
Elle a également soulevé le problème des travailleurs frontaliers, qui ont été confrontés à des informations différentes et qui n'ont pas reçu de bons de vaccination. Elle a jugé nécessaire de développer en 2010 des efforts en direction de ces populations, ainsi que de celle des eurodistricts.