a relevé que les délais rencontrés pour les diagnostics et les fouilles s'expliquent souvent par la difficulté de trouver des spécialistes du domaine considéré. Il a considéré que le monopole de fait de l'INRAP n'incite pas à une maîtrise des coûts et a souligné les problèmes rencontrés localement concernant les protocoles de fouilles à suivre. Il a estimé que l'ensemble du sujet de l'archéologie préventive devrait être réexaminé et qu'un contrôle budgétaire de la commission sur l'INRAP serait bienvenu.