s'est déclaré très attaché à la préservation des paysages naturels. Il a reconnu que la sauvegarde de l'architecture contemporaine se heurtait, en revanche, à une certaine incompréhension. Tout en se défendant de toute position doctrinale en la matière, il a souhaité une meilleure prise en compte du geste architectural qui a présidé par le passé à la constitution des banlieues en périphérie des villes.
Il a précisé que le réseau culturel français à l'étranger ne relevait pas de la responsabilité de son ministère. Il a indiqué néanmoins que le ministère de la culture et de la communication avait obtenu de siéger à parité au conseil d'administration de la nouvelle agence et d'être partie prenante des décisions, tout en constatant les difficultés de mise en oeuvre de la réforme.