a regretté que les crédits en région servent en effet de variable d'ajustement, empêchant toute possibilité de programmation. Il a plaidé pour un engagement budgétaire de l'Etat dans la durée. Il a souligné, ensuite, qu'il restait encore beaucoup à faire dans les secteurs sauvegardés et qu'une vingtaine de communes étaient en attente de classement. Il a estimé qu'un plafonnement du dispositif « Malraux » créerait une insécurité pour les investisseurs et, par ailleurs, qu'une limitation de ce dispositif dans le temps serait néfaste. En revanche, il s'est montré favorable à une simplification du dispositif.