a estimé que le constat de l'ADEME d'une perte d'autonomie départementale en matière de traitement des déchets, en l'absence de création de nouvelles unités d'incinération, était particulièrement inquiétant et a jugé qu'une part importante de la responsabilité de cette situation incombait aux industriels qui ont longtemps manqué de transparence. Elle a souligné la nécessité d'éviter le phénomène de transport des déchets et d'encourager le ferroutage ou le transport par voie fluviale.