a estimé que la logique du zonage poussée à l'extrême n'est pas efficace. Toutefois, il a expliqué qu'un traitement différencié se justifie à l'égard des quartiers qui cumulent des handicaps dans tous les domaines, l'objectif étant de les raccrocher à l'ensemble urbain plus vaste. Par ailleurs, il a souligné que, dans certains cas heureusement peu répandus, les villes ne portent pas suffisamment les projets au sein de ces quartiers. M. Jean-Paul Emorine, président, a estimé qu'il convient de laisser davantage de souplesse au maire afin de lui permettre de mieux s'adapter aux besoins locaux.