a considéré qu'aucune confusion de ces zones n'est à déplorer et que leur rationalisation se poursuit. La hausse de la délinquance en « zone gendarmerie » s'explique par la forte augmentation de certains délits, en particulier les escroqueries et la délinquance financière liée à Internet (+ 19,9 %, soit près de 21.000 faits supplémentaires en 2008), ainsi que les violences aux personnes en milieu intrafamilial (+ 8,2 %) pour lesquelles la qualité de l'accueil aux victimes s'est considérablement améliorée. La plus grande activité des services a également débouché sur un nombre d'infractions constatées supérieur à celui de l'année précédente, notamment en matière de trafic de stupéfiants, de lutte contre les étrangers en situation irrégulière et contre le travail clandestin.