et M. Jean Arthuis, président, se sont ensuite inquiétés de la situation des assistants de vie scolaire en fin de contrat. Ils ont déploré le caractère inadapté du cadre réglementaire prévu pour ces contrats aidés, qui rompt la continuité des dispositifs d'assistance aux élèves, notamment handicapés, et met les titulaires de ces contrats en difficulté, alors même que la plupart d'entre eux se sont pleinement investis dans leurs fonctions. Mme Michèle André a particulièrement souhaité que la stabilité de ces équipes d'assistance soit, à l'avenir, privilégiée car elle conditionne l'intégration des élèves ayant d'importantes difficultés.