Après la tempête Xynthia, l'État s'est engagé à payer au moins la moitié de la réparation des digues. Nous souhaitons que cette participation atteigne 80 %, mais nous n'avons aucune visibilité ! De même, aucun engagement ne porte sur le niveau de la nouvelle cote. Après la tempête, nous avons tous insisté sur l'indispensable réactivité, mais elle n'est toujours pas au rendez-vous.
Alors que les représentants de l'environnement avaient observé une sage prudence aussitôt après la tempête, ils nous mettent aujourd'hui des bâtons dans les roues. Pour combien d'années repartons-nous ? Nous ne pouvons le dire à nos administrés !