a ensuite questionné l'intervenante sur les relations du centre avec la Délégation interministérielle à l'aménagement et à la compétitivité des territoires (DIAC), sur l'évaluation du Contrat de plan Etat-région (CPER) et sur le rôle du centre dans le cadre des futurs contrats de projet. Faisant remarquer, en référence à la dénomination du centre, que l'analyse renvoyait à un constat, tandis que l'action était véritablement stratégique, il a stigmatisé l'échec de la Délégation à l'aménagement du territoire (DATAR) et des politiques publiques en la matière depuis 25 ans, s'interrogeant sur les capacités du centre à faire preuve d'une plus grande efficacité.