En conclusion, M. Jean Arthuis, président, a constaté que la finance islamique faisait partie du paysage de la finance mondiale et que, soutenue notamment par l'évolution des cours du pétrole, elle connaissait une croissance rapide. Il a relevé que les banques françaises étaient actives en ce domaine, tout en conservant une attitude attentiste en France. Puis, ayant souligné l'ampleur des enjeux, il a déclaré que le développement de la finance islamique en France nécessitait peut-être certaines adaptations du cadre législatif ou réglementaire, ce que la seconde table ronde avait pour objet d'étudier.