a rappelé que les fonds souverains, thème majeur appelé à être de nouveau débattu, marquaient le retour d'une forme de capitalisme d'Etat et que leur dynamique était alimentée par les nombreux déséquilibres des pays occidentaux. Plutôt que de craindre résolument la croissance de fonds souverains dont nos économies sont également responsables, il importe d'apprendre à « vivre avec » en gardant à l'esprit que l'acquisition de PME exportatrices par ces fonds peut constituer le prélude à de nouvelles délocalisations. Il a également considéré que la situation actuelle impose aux pays occidentaux, et particulièrement à la France, de constituer leurs propres fonds, ce qui suppose de poursuivre la réduction des déficits publics.