a assimilé l'activité des fonds souverains, qui constituait pour lui une forme de nationalisation, à un nouveau « capitalisme d'Etat ». A ce titre, il a regretté l'absence de fonds souverains français. Dans la mesure où ces investisseurs peuvent apparaître de nature à déstabiliser la concurrence, il a estimé que l'instauration de règles de bonne gouvernance et de transparence permettrait d'apaiser les craintes des acteurs du marché. Par ailleurs, ces fonds participant au financement des déséquilibres commerciaux et budgétaires nationaux, il a espéré que l'attention nouvelle qui leur était portée pourrait contribuer à la sensibilisation de l'opinion publique à la nécessité des réformes destinées à restaurer les finances publiques.