a indiqué partager les préoccupations du rapporteur en matière de dépenses électorales et s'est déclaré ouvert à toute proposition d'amélioration du dispositif. Il a par ailleurs regretté, comme le rapporteur, l'absence d'outil de mesure performant de la situation de l'emploi depuis 2002, situation de nature à complexifier le pilotage des politiques publiques et l'élaboration de partenariats entre l'Etat français et la Polynésie. Il a rappelé qu'il s'agissait d'une compétence de la collectivité d'outre-mer. Il s'est également prononcé en faveur d'un renforcement des moyens d'action des communes polynésiennes. Sur les dates des élections, il a manifesté le souci de respecter les traditions familiales et religieuses. Plus généralement, il appelé de ses voeux la poursuite du chantier de 2004 sur la décentralisation et a rappelé que l'Etat français s'était toujours refusé à une dissolution de l'assemblée de Polynésie afin d'éviter toute ingérence politique.