a rappelé que le texte du projet de loi prévoyait expressément que le remboursement ne s'appliquait pas aux personnes s'étant mises en danger à l'étranger pour un motif légitime tiré notamment de leur activité professionnelle ou d'une situation d'urgence, ce qui excluait clairement les journalistes se rendant dans une zone de crise au nom de la liberté de l'information ou les travailleurs humanitaires participant à des opérations d'assistance humanitaire. Il a fait valoir les inconvénients de procéder par énumération de certaines professions en prenant le risque d'exclure certaines, comme les diplomates par exemple.