En réponse à M. Jean Arthuis, président, qui s'interrogeait sur l'influence de ces fonds sur la gestion des sociétés dont ils étaient actionnaires, M. Michel Prada a répondu que « l'activisme actionnarial » ne concernait pas seulement la gestion alternative, mais encore de nombreuses catégories d'investisseurs. Il a souligné qu'il convenait de s'interroger sur la légitimité des moyens employés, notamment sur la procédure du prêt-emprunt de titres, afin de savoir dans quelle mesure ces dispositifs étaient détournés, notamment dans un but de déstabilisation des entreprises.