Revenant sur les propos de M. Jean Arthuis, président, quant à l'absence de risque inhérent aux stock-options et à l'effet incitatif que ces dernières pouvaient exercer sur les rachats d'actions, il s'est déclaré favorable à cette pratique, et il a considéré que les stock-options, à la différence des attributions d'actions gratuites dont le récent développement en France avait été initié par la société Microsoft, présentaient, malgré tout, le risque de voir leur valeur se réduire ou devenir nulle.
a relevé que le surplus de rémunération des dirigeants constitué par les stock-options n'était pas toujours inscrit en charges d'exploitation, mais que les nouvelles normes comptables internationales conduiraient, probablement, à faire évoluer ce mode de comptabilisation.