a rappelé que le ministère des affaires étrangères et européennes était en cours de réorganisation et prévoyait la création d'une direction générale des affaires globales, dont une direction serait chargée de suivre l'évolution des objectifs du millénaire pour le développement. Il a indiqué avoir demandé que la gouvernance de l'agence française de développement soit revue de sorte que le secrétaire d'Etat à la coopération et à la francophonie puisse en présider le conseil d'administration. Cette solution juridique a été refusée par le Conseil d'Etat, mais la volonté politique demeure.