a estimé que l'architecture internationale de l'aide était particulièrement compliquée et se traduisait par des complications administratives. Il est convenu qu'il serait intéressant de disposer de meilleurs retours sur l'efficacité des différents fonds et sur la destination effective des crédits aux bénéficiaires. Il a appelé de ses voeux une simplification de l'architecture de l'aide internationale.
Il a considéré ensuite que le Fonds Sida était une vraie réussite. La France s'intéresse aux problèmes de mise en oeuvre et cherche à faire en sorte que l'action sur le terrain soit plus efficace. Dans cette attente, une diminution de la contribution française serait un signal très négatif.
Pour ce qui concerne l'objectif de 0,7 %, la France est en position offensive pour l'atteindre. Il a été réaffirmé par le président de la République à la tribune des Nations-unies. Ce transfert de richesse vers les pays pauvres doit être réalisé. Il faut imaginer des solutions variées et ne pas opposer subventions et prêts.