a exprimé son inquiétude quant au volume réel de l'aide mise en oeuvre en Afrique. Elle a estimé que dans la situation budgétaire actuelle, beaucoup dépendrait des méthodes utilisées et de leur efficacité.
Elle a souhaité savoir quelles étaient les conséquences de la crise financière sur notre aide et comment l'AFD évoluait pour y faire face.
Elle a souligné une contradiction entre la volonté du ministère de déléguer ses actions à des opérateurs et de vouloir en assurer le pilotage.
Elle a demandé un bilan du dernier sommet de la francophonie.