a estimé que l'on ne pouvait qu'être favorable à l'objectif de 0,7 % à l'échéance de 2015, mais qu'une programmation indicative serait préférable à des discours volontaristes.
Il a appelé à une transparence accrue en matière d'annulations de dette.
Evoquant le Fonds Sida, il a exprimé son plein accord avec ses objectifs et ses résultats, tout en considérant que les décaissements devraient être plus rapides.