a indiqué que ce contentieux avait été multiplié par quatre depuis 2004 sous l'action conjuguée de groupes de pression, de certains média et d'avocats spécialisés très efficaces. Elle a observé que les moyens soulevés étaient presque toujours des questions de procédures, la réalité de l'infraction n'étant que rarement contestée.
Elle a indiqué que les solutions devaient surtout être recherchées du côté de la gestion administrative du permis à points plutôt que du côté de la loi. Elle a estimé que certaines formalités en matière d'information du contrevenant pourraient certainement être allégées.