S'agissant des amendements n° 423, 159 et 104. La pratique du « prix après-vente » ou « en différé de facturation », qui est très courante dans le secteur des fruits et légumes, peut déstabiliser le marché en facilitant l'arrivée de quantités importantes de marchandises à un prix indéfini, et elle conduit trop souvent à des prix cassés. Nous allons plus loin que le texte, en précisant que le bon de commande, désormais obligatoire, devra comporter le prix des marchandises, ce qui revient à interdire la pratique du « prix après vente » ou « en différé de facturation ».