s'interrogeant sur l'issue d'une telle proposition de loi, lui a indiqué qu'il lui revenait de la déposer. Il a remarqué que le bataillon de marins pompiers de Marseille était pris en charge par la ville et que, à Paris la brigade de sapeurs-pompiers était à la charge de l'Etat pour un quart de son budget, soulignant l'état insuffisant de ses équipements.