s'est inquiétée de la baisse des moyens consacrés à la diplomatie d'influence, en précisant que les crédits du programme « Rayonnement culturel et scientifique » étaient consacrés à 73 % à l'enseignement du français à l'étranger. C'était sur les crédits des centres culturels que pesaient les économies budgétaires. Elle ne s'est pas montrée favorable à l'inclusion des personnels des centres culturels recrutés localement dans le plafond d'emploi, mesure proposée par le rapporteur spécial. Elle a souhaité connaître les suppressions d'emplois prévues pour les trois années à venir.