a rappelé que le DIC représentait, pour 2008, une ligne budgétaire de 32 millions d'euros sur un programme doté de 207 millions d'euros de crédits de paiement. De plus, il s'agit d'une dépense « non maîtrisable », car elle dépend de la masse salariale des bénéficiaires. Enfin, il faut relativiser l'apport du DIC en termes de compétitivité, car il est loin de compenser la différence de moyens entre un club de football comme l'Olympique lyonnais, dont le budget s'élève à 145 millions d'euros et un autre comme le Real Madrid, disposant d'un budget d'environ 350 millions d'euros. M. Jean Arthuis, président, a abondé en son sens, rappelant que ces questions avaient été développées dans le rapport précité.