a insisté sur la complémentarité entre les lignes à grande vitesse et le réseau ferroviaire classique, estimant que le développement de ce dernier devait aussi demeurer prioritaire, notamment s'agissant de lignes diagonales ou transversales. Il a fait observer que ce développement risquait d'être entravé par l'état très dégradé du réseau ferré français, comme l'atteste le rapport de l'école Polytechnique de Lausanne. Se référant à cette étude, il s'est interrogé sur la capacité réelle de la France à financer l'ensemble des projets ferroviaires aujourd'hui prioritaires, qui ne se limitent pas aux lignes à grande vitesse et aux lignes transversales classiques mais concernent aussi le développement du fret et des différents réseaux locaux.