est intervenu pour soutenir l'option du partenariat public-privé s'agissant de la réalisation du canal Seine-Nord Europe, estimant que l'Etat ne serait pas en mesure de financer l'opération autrement qu'en la fractionnant, ce qui est inadapté à un tel projet. De même, il a estimé que les prescriptions techniques de l'administration n'étaient pas toujours optimales et que des infrastructures répondant à des normes plus modestes étaient parfois préférables, illustrant son propos par l'exemple de la route à quatre voies desservant la Bretagne. Enfin, il a insisté sur le fait que le «Grenelle de l'environnement» allait sans aucun doute affecter l'ensemble des jugements portés jusqu'à aujourd'hui sur la politique des transports et il s'est demandé si ce n'était pas le transport aérien qui en sortirait le plus affecté.