Il a enfin évoqué le niveau des prélèvements sociaux et fiscaux sur les paris sportifs et sur le poker en ligne, ainsi que des prélèvements qui seront opérés au profit de la filière équine - soit 8 % des mises sur les paris hippiques - et du mouvement sportif - soit 1 % des mises sur les paris sportifs, avant de considérer, à l'instar de M. Jean Arthuis, président, qu'un enjeu essentiel de ce futur marché encadré des jeux en ligne sera l'efficacité de la lutte contre les opérateurs qui n'auront pas été agréés et seront donc devenus illégaux.