Ce n'est pas moi qui l'ai nommé. La fédération française de tennis fait partie de ces rares fédérations qui ont un fonctionnement mixte. Les contrats privés y sont nombreux. Le directeur technique national n'est pas un agent public : son contrat est privé. La surface économique de cette fédération est telle qu'elle préfère payer elle-même ces personnalités.