a appelé à la prudence quant à un report des travaux de mise en conformité des ascenseurs, soulignant que les parlementaires risquaient d'être taxés de laxisme voire d'impéritie si un accident devait survenir après l'adoption du projet de loi. M. Daniel Goldberg a estimé que les dispositions actuelles du code de la construction et de l'habitat prévoyaient déjà une date d'entrée en vigueur en 2018, et qu'il serait toujours temps, à l'approche de cette échéance, d'apprécier l'opportunité de la repousser.