a d'abord déploré que certains départements n'abritent aucune classe préparatoire, ce qu'il a jugé difficilement acceptable. Puis il a souligné la nécessité d'une politique de diversification linguistique appuyée dans l'enseignement scolaire. Les postes mis aux concours dans certaines langues, comme le russe, sont inexistants ou quasi inexistants. Cela ne paraît que très peu satisfaisant, alors même que l'éveil à la diversité culturelle passe en tout premier lieu par l'apprentissage de langues vivantes autres que l'anglais.