a précisé que le projet de loi avait été conçu dans le souci de ne pas créer de nouvelles dépenses de fonctionnement au sein des institutions de la fonction publique territoriale, avant d'indiquer que le dispositif élaboré pour le droit individuel à la formation contenait des éléments de souplesse, avec la possibilité de cumuler, sur une durée de six ans, des droits acquis annuellement, la faculté pour l'agent de suivre l'action de formation souhaitée malgré le désaccord, pendant deux années successives, de l'autorité territoriale, et le choix laissé à cette dernière de décider si le droit individuel à la formation serait exercé, en tout ou partie, en dehors du temps de travail.