évoquant l'évolution de la situation à Bethléem, a souligné que la diplomatie avait beaucoup progressé au cours des vingt dernières années, mais que, sur le terrain, la réalité était toute autre : les colonies se développent, le mur se construit, les points de contrôle sont plus nombreux. Il a estimé que les flux de circulation semblaient organisés de sorte que deux populations coexistent sans jamais se croiser. Il a rappelé que le terme du mandat du président de l'Autorité palestinienne ouvrirait une période d'incertitude quant à l'attitude du Hamas.