Contre l'avis de la commission des finances et du Gouvernement, l'Assemblée nationale a adopté un amendement à l'article 67 précisant que l'État et la Caisse des Français de l'étranger doivent prendre en charge les adhésions de nos compatriotes les plus défavorisés à parts égales. L'amendement n° A1 du rapporteur spécial Adrien Gouteyron en revient à la rédaction du Gouvernement. Avec des réserves financières supérieures à 40 millions d'euros, la caisse a, en effet, les moyens d'assumer l'essentiel de cette charge pendant plusieurs années sans, pour autant, assimiler sa trésorerie à un « dodu dormant ».