a exposé trois réserves :
- l'obligation de 100 % de courrier distribué à J + 2 va au-delà des règles prévues par les directives postales européennes ;
- elle contraint La Poste, qui assure déjà 95 % de distribution du courrier à J + 2, à réaliser des investissements extrêmement lourds pour un gain de performance marginal ;
- cette obligation induit un fort risque de contentieux.
Il a souhaité que le « J +2 » reste un objectif, sans devenir une obligation.